Reactionism Watch

Centre de Surveillance de la Droite Internationale

Posts Tagged ‘Amérique du Sud’

Album photo M.-À.-J.

Posted by L'Agitateur sur 10 juin, 2007

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Evo Morales pour Prix Nobel de la Paix 2007

Posted by Libertad ! sur 7 juin, 2007

Chères amis:

En décembre dernier, le Prix Nobel de la Paix argentin Adolfo Perez Esquivel a officiellement présenté la candidature d’Evo Morales, président bolivien, issu des majorités exclues depuis plus de 500 ans aux Prix Nobel de la Paix 2007.

La candidature d’Evo se fonde sur ses luttes sans trêves pour la justice sociale, la reconnaissance des peuples originaires de Bolivie, d’Amérique et du monde, pour la souveraineté du peuple sur les richesses naturelles, pour l’instauration d’une autre forme de relations économiques entre les peuples basées sur la solidarité et la complémentarité, et la vie en harmonie avec la nature et le respect de l’environnent. Ce sont la des conditions essentielles á la construction d’une paix juste et durable.

Afin de promouvoir la candidature, nous nous sommes proposé d’impulser la création de comités de soutien partout dans le monde. Il s’agit pour ces comités de diffuser la campagne dans les medias locaux, collecter les signatures de citoyens et de personnalités locales et nationales. Ces comités doivent aussi être un frein aux agressions constantes que subit le processus émancipateur bolivien venant de l’intérieur du pays comme de l’extérieur, de secteurs oligarchiques ne voulant pas perdre leurs privilèges et de ceux qui veulent avoir des gouvernements serviles au service de leur intérêts et de leur modèle de développement aberrant dans tous nos pays.

Nous espérons pouvoir compter également, sur le soutien et la solidarité des peuples Canadiens . C’est pourquoi nous nous adressons à vous afin de vous proposer la création d’un comité.

Nous vous invitons également, à adhérer a cette campagne a titre individuel ou en tant qu’organisation sur : http://www.evonobel2007.org

– Campagne Evo Morales Prix Nobel de la Paix 2007

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Brésil: la police tue un enfant pendant un exercice

Posted by Libertad ! sur 28 Mai, 2007

RIO DE JANEIRO – Un enfant de 12 ans a été tué samedi par la police militaire brésilienne (PM). Au cours d’une démonstration publique de lutte contre une prise d’otages, les policiers se sont trompés de munition.

Au lieu de balles à blanc, des balles réelles ont été utilisées « par erreur », a expliqué la PM dans un communiqué.

Au moins une dizaine de spectateurs ont été blessés dans cet incident qui s’est produit à l’occasion d’une journée de solidarité organisée à Rondonopolis, localité de l’Etat du Mato Grosso, dans l’ouest du Brésil.

Nous savions déjà que la paulisse en Amérique du Sud ne faisait pas dans la dentelle, ils sont réputés pour être des durs ! « Pourquoi nous n’utiliserions pas de vrais balles pour notre exercice », s’exclame un. « Ouais, pourquoi pas ! » s’exclame le groupe fébrile à l’idée d’avoir de l’action dans une simulation, et ce, devant le public qui va être impressionné devant la puissance de la paulisse. Mais résultat, un enfant de 12 ans est mort et une dizaine de personnes ont été blessés. Nous avons juste un terme pour les qualifier : « Gang de caves » !

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Les manigances de l’OEA et de Washington vis-à-vis de Caracas

Posted by L'Agitateur sur 22 Mai, 2007

Nous avons trouvé cet article fort intéressant à propos d’Hugo Chavez et des accusations gratuites lancées sur lui. Ceci est à diffuser largement :

La Commission interaméricaine des droits de l’homme (CIDH) mène campagne contre le président Hugo Chávez qu’elle présente comme un dictateur muselant la presse. En réalité, la CIDH de l’OEA est placée sous la coupe du département d’État des États-Unis pour lequel elle fait œuvre de propagande. Salim Lamrani analyse les incohérences des accusations lancées contre le Venezuela.

En avril 2007, suite aux pressions de Washington, la Commission interaméricaine des droits de l’homme (CIDH) de l’Organisation des États américains (OEA) a décidé d’ouvrir une enquête à l’encontre du Venezuela pour « atteinte à la liberté d’expression ». La CIDH fait référence à des agressions dont auraient été victimes certains journalistes de deux chaînes de télévision putschistes RCTV et Globovisión, durant le coup d’État — qu’elles avaient par ailleurs soutenu — contre le président Hugo Chávez en avril 2002. Cinq ans après les faits, la Commission a subitement jugé que les plaintes étaient recevables.

La CIDH avait maintenu un silence étonnant suite au coup de force du 11 avril 2002, où plusieurs personnes avaient été sauvagement assassinées. Au lieu de se prononcer sur les violations massives des droits de l’homme qui ont suivi le coup d’État qui avait renversé Chávez pendant 48 heures, elle a préféré au contraire accorder du crédit aux plaintes déposées par l’opposition, responsable de la rupture de l’ordre constitutionnel. En réalité, le timing de cette procédure, aux motivations politiciennes, est intimement lié à la décision du gouvernement vénézuelien de ne pas renouveler la concession audiovisuelle à RCTV, qui arrive à son terme le 27 mai 2007.

Le président Chávez n’a pas tardé à réagir pour dénoncer l’hypocrisie de la CIDH qui, selon lui, ne dispose d’aucune autorité morale « pour émettre un quelconque jugement en référence aux affaires constitutionnelles du Venezuela […], car elle a largement soutenu par son silence la violation des droits de l’homme durant le coup d’État d’avril 2002 ». Il a également stigmatisé le manque d’indépendance de la Commission dont les instructions « correspondent aux intérêts de l’administration Bush ». « Comment vont-ils venir donner leur avis alors qu’ils ne se sont pas prononcés sur les faits inconstitutionnels et immoraux du coup d’Etat ? », a-t-il questionné.

La position partisane de la CIDH montre malheureusement à quel point elle est tributaire de l’influence de la Maison-Blanche. Il est en effet surprenant de voir cette Commission de l’OEA tenir les autorités vénézueliennes responsables de quelques agressions sporadiques dont ont été sujets certains professionnels des médias privés, alors qu’elle a toujours refusé de condamner la fermeture de la chaîne de télévision publique Canal 8 par les putschistes en avril 2002 et les violences qui se sont ensuivies. Par cette action au timing douteux, la CIDH se prête à la campagne hostile contre le gouvernement bolivarien et vient de perdre le peu de crédibilité qui lui restait.

La question de RCTV

La décision du gouvernement vénézuelien de ne pas renouveler la concession à RCTV est une action parfaitement légale puisque le spectre des ondes hertziennes appartient à l’État. De plus, elle a été largement approuvée par la population, qui a encore en mémoire la participation active de cette chaîne aux sanglants évènements d’avril 2002. De nombreux observateurs se sont d’ailleurs étonnés du fait que les quatre principales chaînes d’information privées Univisión, Globovisión, RCVT et Televen, toutes complices du coup d’État dirigé par Washington, n’aient pas été nationalisées.

Lors d’un acte flagrant d’ingérence dans les affaires internes d’un pays voisin, le Sénat chilien a approuvé une résolution exigeant de sa présidente Michelle Bachelet qu’elle proteste contre le non renouvellement de la concession de RCTV devant l’OEA. L’accord souscrit par 18 voix contre 6 dénonce « la transgression à la liberté de pensée et d’expression », sans pour autant mentionner l’implication de la chaîne dans les évènements de 2002. L’adoption de ce texte par un Sénat dominé par une majorité de droite n’est guère surprenante, selon le président Chávez : « Il s’agit de la même droite qui avait applaudi le coup d’État » de 2002, « cette extrême droite qui nous hait ». Cet échange virulent a engendré quelques tensions entre les deux nations.

Jesse Chacón, le ministre du Pouvoir populaire pour les télécommunications et l’informatique, a expliqué que le non renouvellement de la concession à RCTV était un fait naturel et inexorable. En effet, conformément aux articles 1 et 4 du Règlement sur les concessions pour les télévisions et les radios, l’accord qui a été signé le 27 mai 1987 avec RCTV pour une durée de 20 ans arrive à échéance le 27 mai 2007. L’espace radioélectrique actuellement occupé par RCTV sera destiné à une nouvelle chaîne publique conformément à l’article 108 de la Constitution qui stipule que l’État « garantira des services publics de radio et télévision et des réseaux de bibliothèques et d’informatique afin de permettre l’accès universel à l’information ».

Chacón insiste bien sur le fait qu’il ne s’agit pas d’une décision politique : « S’il s’agissait d’une décision politique, le 14, 15 ou 16 avril [2002] nous aurions ouvert une procédure administrative et on aurait fermé toutes les chaînes de télévision, car nous Vénézueliens savons comment elles ont activement participé au coup d’État du 11 avril ». Le ministre a souligné que les temps avaient changé depuis 1987 et que désormais la priorité était donnée au service public d’information.

RCTV, en plus de sa participation avérée au coup de force de 2002, est la chaîne de télévision qui a été la plus sanctionnée dans l’histoire du Venezuela. Depuis sa création en novembre 1953, le média privé a été sanctionné pas moins de six fois par les autorités. En 1976, sous le premier gouvernement de Carlos Andrés Pérez, RCTV avait été fermée pendant trois jours pour avoir violé la loi sur les programmes télévisuels. En 1980, le gouvernement de Luis Herrera Campins avait décrété une fermeture de 36 heures pour les mêmes raisons. En 1981, elle avait également été fermée pendant 24 heures pour avoir divulgué des scènes à caractère pornographique. Sous le second gouvernement de Carlos Andrés Pérez, RCTV fut sanctionnée pendant une journée pour avoir diffusé de la propagande commerciale en faveur de la consommation de tabac. En 1991, la Cour suprême de justice avait interdit un programme non conforme à la législation. Enfin, en 2005, sous le gouvernement de Chávez, RCTV a été condamnée à une forte amende pour entente illicite avec d’autres chaînes de télévision et violation des règles de la concurrence.

Le président Chávez a réaffirmé que la décision prise au sujet de RCTV était irrévocable. Désormais, la deuxième chaîne sera utilisée « au bénéfice de la nation et non contre la dignité des Vénézueliens ».

Hostilité croissante de Washington

Le leader vénézuelien a également accusé le gouvernement des États-Unis de stimuler l’opposition interne en vue de déstabiliser le pays. Un récent rapport du Département d’État accusait Chávez, qui a remporté près de 12 victoires électorales démocratiques successives depuis 1998, de représenter une « menace pour la démocratie vénézuelienne ». L’administration Bush, qui a essayé à plusieurs reprises de renverser le président bolivarien, n’apprécie guère les politiques indépendantes du Venezuela et ses succès sociaux qui installent un dangereux précédent sur le continent. Elle a clairement démontré qu’elle comptait se débarrasser de l’homme le plus populaire d’Amérique latine.

Échaudés par les déclarations de Washington, les secteurs extrémistes de l’opposition vénézuelienne n’ont pas tardé à réagir. Le 26 avril 2007, une nouvelle bombe explosait près de l’ambassade de Bolivie à Caracas, faisant d’importants dégâts matériels, et portant à près de onze le nombre d’attentats terroristes commis durant les derniers mois. Plusieurs personnes ont été arrêtées dont deux avocats, Luis Alberto Rodríguez et Diana Carolina Mora Herrera, qui avaient placé les explosifs.

Les États-Unis n’ont jamais écarté un éventuel assassinat du président Hugo Chávez. Depuis son élection, sa sécurité personnelle a été extrêmement renforcée et plusieurs plans d’attentats ont été déjoués par les services de renseignement. Washington, qui vient de libérer le Ben Laden latino-américain, Luis Posada Carriles, un terroriste responsable, entre autres, de 73 assassinats, a donné un signal clair à Caracas. Une élimination physique d’Hugo Chávez est à l’ordre du jour.

Salim Lamrani
Profesor de espanol y joven investigador en la Universidad Denis-Diderot de Paris

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Le pape au Brésil: Opposition à l’avortement

Posted by Libertad ! sur 10 Mai, 2007

Au deuxième jour de sa visite au Brésil, Benoît XVI s’est entretenu jeudi avec le président Luiz Inacio Lula da Silva et devait rencontrer des jeunes catholiques dans un stade de Sao Paulo, après avoir réaffirmé la veille son opposition à l’avortement.

C’est rien d’étonnant, venant de l’homme le plus puissant de l’église catholique et peut-être même du monde. Ils sont contre l’avortement, car pour eux, il s’agit carrément d’un meurtre. Au risque de faire grincer les dents à plusieurs personnes, le Reactionism Watch tient à faire remarquer qu’il appuie entièrement le choix des femmes de faire ce qu’elles veulent de leurs corps et c’est pas un chef d’église qui n’a pas su se moderniser qui nous dira les choses qui sont bonnes et mauvaises pour nos pauvres « âmes pécheresses »…

Certains des jeunes venus pour voir le pape se montraient toutefois critiques sur l’Église. «Tant qu’elle n’élargira pas son champ d’action pour englober les dépossédés, les pauvres, les affamés et les jeunes, les sectes évangéliques vont continuer à gagner du terrain au Brésil», prédisait Charles Marinho de Souza, 27 ans, syndicaliste et membre d’une organisation de jeunes catholiques.

Il y a désormais une compétition ouverte entre les différents courants chrétiens et sectaires en amérique du sud ? C’est plutôt marrant il faut avouer.

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