Reactionism Watch

Centre de Surveillance de la Droite Internationale

Posts Tagged ‘Culture’

L’ère du privitivisme spatial.. soviétique!

Posted by episteme12 sur 5 octobre, 2007


Hier, on célébrait les 50 ans du lancement du premier sattelite artificiel dans l’espace; spoutnik.

Spoutnik ouvre l’ère de la conquête humaine de l’espace. Une conquête que se disputeront par la suite les superpuissances soviétique et états-unienne

Nous soulignons cet événement marquant de l’histoire de la science et de la technologie.

Par le fait même, nous tenons à spécifier que la technologie n’a pas à être investie d’une quelquonce idéologie. Certains prétendent que les socialistes veulent interrompre le développement de la technologie, que la technologie ne s’agence forcément pas avec un régime à tendance collectiviste. Cette photo du mémorable spoutnik prouve le contraire.

La technologie n’est ni capitaliste, ni socialiste, mais humaine!

Note: Les membres du Reactionismwatch n’appuient pas nécessairement le régime soviétique de l’époque et tout ce qu’il a impliqué, le billet ne se voulait pas un hommage à ce régime.

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Le «renouveau» du Ku Klux Klan !

Posted by Libertad ! sur 23 septembre, 2007

Le Ku Klux Klan est une organisation qui fait désormais partie du folklore américain, dans une certaine mesure, pour des raisons négatives. Cette organisation raciste est connue par ses grandes cérémonies avec des « sorciers » qui prônent la supériorité de la race blanche et font brûler des croix.

Le KKK fut créé le 24 décembre 1865, à Pulaski, au Tennessee, par six jeunes ex-officiers sudistes en mal de divertissement. L’organisation ne comporte pas encore les aspects racistes et violents qui feront sa célébrité plus tard. Son nom dérive du mot grec Kuklos (cercle) et du mot écossais Klan (clan). Chargé d’administrer l’Empire Invisible (les États du sud), le Klan se dote d’une structure fantasmagorique (un Grand Sorcier, entouré de Dix Génies) et de costumes (longues cagoules blanches) destinés à effrayer les non-membres de l’organisation.

Rapidement, les théories sur la suprématie de la race blanche gagnent les membres de l’organisation. Le Klan se développe et tient un congrès en 1867, à Nashville (Tennessee), au cours duquel le général Nathan Bedford Forrest est nommé Grand Sorcier. Ex-officier de cavalerie, il donne au Klan une structure militaire. Le Klan adopte une Charte qui le définit comme  » dédié à la Cavalerie, à l’Humanité, à la Miséricorde et au Patriotisme « .

Doctrine du Klan

Les piliers de la politique du Klan sont:

– La Race Blanche : le pilier irremplaçable de la Nation, de notre foi et des hauts niveaux de la culture et de la technologie occidentale.

– Amérique d’abord : Première avant quelque influence ou intérêt étranger.

– La Constitution: Comme elle a été écrite et comprise à l’origine. Le meilleur système de gouvernement jamais conçu par l’homme.

– Libre Entreprise: Propriété privée et propriété des entreprises, mais la fin de l’exploitation par la haute finance.

– Chrétienté Positive: Le droit pour le peuple américain de pratiquer leur foi – y compris la prière à l’école.

– La Famille : nous croyons que la force d’une nation doit être basée sur de fortes entités familiales, communément appelées la famille traditionnelle.

Le Klan se développera en faisant régner la terreur dans les campagnes dans le sud des États-Unis, en tuant plusieurs personnes d’une horrible façon. L’âge d’or du mouvement est assurément les années 20, lorsque Hollywood semble particulièrement sympathique au Klan (voir Birth of a nation de D. W. Griffith), l’entourage du président y est sympathisant aussi, tout comme des juges et d’importants hommes d’affaires (dont Howard Hugues). Ils comptaient de 3 à 4 millions de membres, soit l’équivalent aujourd’hui de l’État de la Caroline du Sud.

Aujourd’hui, le Klan n’est plus très populaire, n’ayant que quelques milliers de membres isolés. Ils veulent trouver une nouvelle façon de se «renouveler»…

Voici donc un documentaire en trois parties, fort intéressant qui montre toute l’horreur de cette organisation, malgré ses nouveaux termes comme «croissance personnelle» ou l’interdiction d’utiliser le mot «nigger».

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Des images qui ont changé le monde

Posted by Libertad ! sur 17 septembre, 2007

Voici une série de photos tragiques/touchantes/humanitaires/drôles qui ont possiblement eu des répercussions sur la politique internationnale:

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Le MI5 surveillait Georges Orwell…

Posted by Libertad ! sur 7 septembre, 2007

George Orwell est possiblement l’un des écrivains les plus appréciés du XXe siècle, avec ses œuvres comme la ferme des animaux ou son plus populaire de tous: 1984, une violente dénonciation du régime totalitaire de Staline en U.R.S.S. Bien qu’étant de gauche, il s’opposait de toute évidence à sa forme la plus radicale, c’est à dire le communisme, mais c’est une chose que les soi-disant agents secrets du MI5 n’ont pas compris.

En effet, selon le MI5 (le service de renseignement national), Orwell aurait été classé comme un élément à surveiller par la police britannique, mais cette erreur aura été corrigé que cette semaine…

D’ailleurs, ceci montre toute la peur qu’à eu les gouvernements occidentaux durant la première et la deuxième moitié du XXe siècle à cause des révolutions russes, chinoises et cubaines. Les britanniques envoyèrent plusieurs milliers de soldats pour défaire la révolution qui se faisait en Russie, en plus des américains, des japonais, des turcs, des français et même des canadiens. Comme le mentionna Winston Churchill à l’époque: « le bolchevisme doit être étranglé dans son berceau ».

En fait, les autorités britanniques ont utilisés des faits divers sur Orwell pour affirmer qu’il était communiste, bien que ces évènements n’aient pas nécessairement un lien entre eux. Comme par exemple, comme beaucoup de journalistes de son époque, il étudiera les conditions de vies des mineurs anglais, qui étaient vraiment misérables.

En 1942, alors qu’Orwell travaillait pour le service indien de la BBC, un rapport d’un certain sergent Ewing, de la Branche de la police spécialisée dans le renseignement, affirme à propos de l’écrivain qu’il a des « opinions communistes avancées » et que « plusieurs de ses amis indiens disent l’avoir souvent vu à des réunions communistes ». Ces affirmations n’ont toutefois pas convaincu le MI5.

Cependant, d’autres documents révèlent que le MI5 ne considérait pas Orwell comme une menace pour la sécurité. En 1943, le service de renseignement, invité à se prononcer sur l’accréditation d’Orwell comme journaliste au siège des forces armées alliées, n’a « soulevé aucune objection ».

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Le régime communiste aux U.S.A.

Posted by L'Agitateur sur 1 septembre, 2007

Voici un excellent texte de Léon Trotsky expliquant comment une société industrialisée pourrait générer la révolution, et ainsi organiser une toute nouvelle économie. Bien que ce texte date de 1935, plusieurs points sont encore d’actualités, notamment la croyance droitiste qui dit que ce qui est communiste est ce que la Russie était en 1917 à 1925 dans les régions les plus arriérées au plan culturel et économique.

Si le régime communiste est instauré aux Etats-Unis, comme une conséquence de l’incapacité de votre ordre social capitaliste à résoudre ses difficultés et ses problèmes, vous découvrirez que ce régime bien loin de signifier une tyrannie bureaucratique intolérable et l’enrégimentement des individus, sera à l’origine d’un développement des libertés individuelles et donnera l’abondance pour tous.

A l’heure actuelle, la plupart des Américains ne considèrent le régime communiste que d’après l’expérience de l’Union Soviétique. Ils craignent que ce régime n’engendre en Amérique les mêmes résultats matériels que chez les peuples culturellement arriérés de l’Union Soviétique.

Ils craignent que l’on ne veuille les coucher sur un lit de Procuste, et considèrent, par ailleurs, le conservatisme anglo-saxon comme un obstacle insurmontable même pour des réformes éventuellement souhaitables. Ils soutiennent que la Grande-Bretagne et le Japon interviendraient par la force armée contre les Soviets américains. Ils redoutent de s’entendre dicter quels vêtements ils doivent mettre, quels aliments ils doivent consommer; d’être contraints à se contenter de rations de famine; à ne trouver dans la presse qu’une propagande officielle stéréotypée; à entériner des décisions prises sans leur participation active; à garder leurs pensées pour eux, et à chanter bruyamment en public les louanges de leurs dirigeants soviétiques pour échapper à la prison ou à l’exil.

Ils ont peur d’être la proie de l’inflation monétaire, de la tyrannie bureaucratique, d’une paperasserie intolérable dans toutes les démarches de l’existence quotidienne. Ils craignent d’assister à une standardisation mécanique des arts et des sciences, comme de la vie de tous les jours; à la destruction, par la dictature d’une monstrueuse bureaucratie, de toute spontanéité politique et de la liberté de la presse. Et ils tremblent à l’idée d’être obligés à parler un incompréhensible jargon de dialectique marxiste et à professer une philosophie sociale obligatoire. Ils craignent, en un mot, que l’Amérique soviétique ne devienne la contre-partie de la Russie soviétique telle qu’on la leur a dépeinte.

En réalité, le régime. soviétique américain diffèrera autant du régime soviétique russe que les Etats-Unis du Président Roosevelt différent de l’empire russe du tsar Nicolas II. Cependant, le régime communiste ne peut être instauré en Amérique que par une révolution, comme l’y furent l’indépendance et la démocratie. Le tempérament américain est énergique et violent, et il exigera pas mal de vaisselle cassée avant que le régime communiste ne soit solidement établi. Les Américains sont des enthousiastes et des sportifs avant d’être des spécialistes ou des hommes d’état, et il serait contraire à la tradition américaine d’opérer un changement majeur sans se diviser, tout d’abord, en camps opposés et fendre des crânes.

Néanmoins, si élevé qu’il puisse être, le coût de la révolution communiste aux Etats-Unis sera insignifiant, rapporté à votre richesse nationale et à votre population, en comparaison de celui de la révolution bolcheviste en Russie.

Cela tient à ce que, dans une guerre civile révolutionnaire, ce n’est pas la poignée d’hommes qui se trouve au sommet de l’échelle sociale qui se bat –les 5% ou 10% qui possèdent les neuf dixièmes de la fortune américaine: ils ne peuvent recruter les armées de la contre-révolution que dans les couches inférieures des classes moyennes. Or la révolution pourrait facilement amener ces dernières sous son drapeau en leur démontrant que le soutien des soviets leur ouvrirait seul une perspective de salut.

En dessous de ce groupe social, tout le monde, au point de vue économique, est préparé au communisme. La crise a ravagé votre classe ouvrière, et a porté un coup terrible à vos agriculteurs, déjà atteints par le long déclin agricole de la décade d’après guerre. Il n’y a aucune raison pour que ces groupes opposent une ferme résistance à la révolution; ils n’ont rien à y perdre, en admettant, bien entendu, que les dirigeants de la révolution adoptent une politique modérées et clairvoyante à leur égard.

Quels autres hommes voudront se battre contre le communisme? Vos milliardaires et multimillionnaires? Vos Mellon, Morgan, Ford, Rockefeller? Ils cesseront la lutte dès qu’ils ne pourront plus trouver d’autres gens pour se battre à leur place.

Le gouvernement soviétique américain prendra fermement possession des leviers de commande de votre système économique: les banques, les industries-clés et les moyens de transport et de communication. Il donnera alors aux agriculteurs, aux petits commerçants et négociants, un temps de réflexion suffisamment long pour que ceux-ci aient la possibilité de constater comme le secteur nationalisé de l’industrie fonctionne bien.

C’est ici que les soviets américains pourront faire de véritables miracles. La « technocratie » ne pourra devenir une réalité que sous le régime communiste, une fois votre système industriel affranchi des entraves de la propriété privée et du profit privé. Les plus audacieuses propositions de la commission Hoover sur la standardisation et la nationalisation ne sont que jeux d’enfants auprès des possibilités nouvelles que libérera le régime communiste.

L’industrie nationale sera organisée sur le modèle de la chaîne de montage dans vos usines automatiques modernes à production continue. La planification scientifique pourra sortir du cadre de l’usine individuelle pour être appliquée à votre système économique tout entier. Les résultats seront stupéfiants.

Les coûts de production tomberont à 20%, ou moins, de leur valeur actuelle. De ce fait, le pouvoir d’achat des agriculteurs s’élèverait rapidement.

Bien entendu, les soviets américains institueraient leurs propres entreprises agricoles géantes, en guise d’écoles de collectivisation volontaire. Vos agriculteurs pourraient facilement calculer s’il est de leur intérêt de demeurer des anneaux isolés, ou de se joindre à la chaîne publique.

[…]

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Rappelez-vous de ceci : l’Entreprise d’aujourd’hui est ce que l’Église était autrefois à l’État.

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Hiroshima, mon amour

Posted by Libertad ! sur 6 août, 2007

Le 6 août 1945, le soleil s’écrasa sur la ville japonaise d’Hiroshima, et quelques jours plus tard sur Nagasaki. Plus précisément, il s’agissait de deux bombes nucléaires nommés Little Boy et Fat Man que les États-Unis larguèrent sur le Japon pour mettre fin à la guerre selon leur point de vue.

Les allemands ont été vaincus par les troupes soviétiques en Allemagne et écartés de l’Europe de l’Ouest par les puissances occidentales (dont les États-Unis), mais la guerre faisait encore rage dans le Pacifique et les combats s’étaient rendus jusqu’au Japon. La bataille d’Okinawa fut l’une des campagnes les plus violentes de la guerre en Asie pour les anglo-saxons : plus de 20 000 morts pour capturer une minuscule île.

Cette bataille devint mythique grâce à l’image des soldats qui plantèrent le drapeau américain sur le champ de bataille. Il ne semblait plus y avoir de solution sauf une seule, selon le gouvernement américain : utiliser l’offensive nucléaire pour terrifier l’empereur du Japon et, du même coup, prouver la supériorité des États-Unis sur l’U.R.S.S. qui avait gagné en prestige à travers le monde suite à la victoire des communistes sur les fascistes.

Mais est-ce que cette solution des États-Unis pour régler le conflit était trop radicale ? La réponse est simple : oui. En effet, il existait de nombreuses autres alternatives et le Japon était prêt à se rendre sur des conditions comme le maintient de la monarchie (ce qui sera de toute manière respectée par la suite), selon des informations décryptées par l’espionnage électronique.

Le Japon était déjà détruit, il n’y a plus aucune infrastructure, les habitantEs avaient le morale à terre et la nourriture se faisait rare. Les bombardements de Tokyo avait porté un dur coup aux fascistes. Peu importe, on bombarde quand même ! Suite aux bombardements, plus de 350 000 personnes sont mortes à dû aux conséquences directes (déflagration) ou indirectes (radiation). Les effets sont encore très visible aujourd’hui sur les survivants.

Certains vont nous reprocher que nous éclipsons les crimes de guerres japonais dans cet article, mais nous vous disons ceci : ce billet vise essentiellement à critiquer le point de vue davidien selon lequel ces bombardements étaient inévitables et essentielles alors que ce n’était pas le cas. Nous avons d’ailleurs fait une bonne dénonciation des horreurs commises par les troupes impériales japonaises dans un billet écrit il y a quelques mois. Voici le lien :

Référendum sur la révision de la constitution

Notre position sur le sujet est très claire : tout le monde est coupable ! Nous critiquons à la fois le «vaincu» et le «vainqueur», car les gestes commis par ces deux pays sont impardonnables.

Les conséquences du bombardement :

La puissance dissipée par la bombe a été estimée à 14 000 tonnes de TNT. Cette énergie est transformée en chaleur et en souffle pour 85% et en radiations pour 15%. Chacun de ces trois effets est dévastateur.

Dès le premier millionième de seconde, l’énergie thermique est libérée dans l’atmosphère et transforme l’air en une boule de feu qui atteint un kilomètre de diamètre en quelques secondes au-dessus d’Hiroshima.

Au sol, la température atteint plusieurs milliers de degrés sous le point d’impact. Dans un rayon de 1 km, tout est instantanément vaporisé et réduit en cendres. Jusqu’à 4 km de l’épicentre, bâtiments et humains prennent feu spontanément ; les personnes situées dans un rayon de 8 km souffrent de brûlures au 3° degré. (Voir le témoignage du Docteur Michihiko Hachiya )

Après la chaleur, c’est au tour de l’onde de choc de tout dévaster: engendrée par la phénoménale pression due à l’expansion des gaz chauds, elle progresse à une vitesse de près de 1.000 km/h, semblable à un mur d’air solide.

Elle réduit tout en poussières dans un rayon de 2 km. Sur les 90.000 bâtiments de la ville, 62.000 sont entièrement détruits. Le troisième effet, encore très méconnu en 1945, et spécifique à cet arme est celui des rayonnements.

Il entraîne des cancers, des leucémies… Il est d’autant plus terrifiant que ces effets n’apparaissent que des mois, voire des années après l’explosion. Les femmes enceintes au moment de l’explosion donnent naissance à des bébés atteints de malformations, en particulier de microcéphalie.

Nous pouvons aussi ajouter que les conséquences qui perdurent encore aujourd’hui est cette course aux armements nucléaires que se livrent plusieurs pays. La guerre froide est d’ailleurs le résultat direct d’Hiroshima. Cette dernière donna aussi au Japon sa position anti-militariste et devint le fer de lance du combat pour les environnementalistes et militantEs anti-nucléaire du pays. Malheureusement, le gouvernement conservateur japonais souhaite modifier la constitution afin de permettre le retour au militarisme national, tout en amenant la possibilité d’avoir des têtes nucléaires au grand désarroi d’une majorité de la population.


Pour ceux et celles qui connaissent un peu la culture et l’histoire moderne du Japon, nous savons que ces deux évènements ont beaucoup joué sur la culture populaire du pays. Nous n’avons qu’à prendre l’exemple sur les films de Godzilla, le monstre radioactif qui ravagea la ville de Tokyo dans sa première apparition du classique de 1954, et ses suites avec d’autres monstres radioactifs. La critique de ces films était très claire : l’humanité court un grand péril avec une telle technologie. Godzilla représentait les ravages et la peur de la menace nucléaire.

Dans un tout autre registre, avec certains liens aux précédents films, les japonaisES connaissent très bien l’histoire de la petite Sadako Sasaki qui fut exposée au rayonnement et qui devint cancéreuse. Ayant entendue cette vieille légende qui dit : « Quiconque plie mille grues de papier verra son vœu exaucé », elle se mettra à plier et à plier des grues dans l’espoir de trouver la guérison jusqu’à sa mort en 1955. Elle en avait fait 644. La tradition se perpétua chez les enfants japonaisES, ainsi que pour ceux et celles qui ont un proche ou qui souffrent eux(elles)-mêmes d’une maladie.

Le cinéma mondial sera aussi marqué par ces évènements, comme dans le film franco-japonais Hiroshima, mon amour (1959).

==> Source
==> Hiroshima mon amour

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La GRC surveillait John Lennon en 1970

Posted by Libertad ! sur 22 juillet, 2007

Les années 70 furent très grandes pour le mouvement anti-guerre, avec ses dizaines de milliers de manifestants, qu’ils soient communistes, anarchistes ou tout simplement pour le mouvement « peace and love ». Nous avons encore en tête les célèbres images des rassemblements monstres de Washington mais il serait faux de dire que le mouvement était moins fort au Canada, lieu d’exile pour les intellectuelles américains et les jeunes hommes qui refusaient la conscription pour servir l’impérialisme en Asie du sud-est.

Le mouvement pour la paix était par contre très surveillé par les services de renseignements, comme la CIA, la GRC ou le FBI. Ils ont mis sous écoute des dizaines de milliers de militants, ils en ont harcelés plusieurs et on même planifier d’assassiner les têtes fortes et les dirigeants. À défaut de condamner les gens pour leur opinion, les policiers et les enquêteurs inventaient de fausses preuves pour des crimes qu’ils n’ont pas commis. Nous avons qu’à prendre l’exemple du camarade Elmer Geronimo ji-jaga, un haut placé du Black Panther Party.

De nombreuses vedettes dont Jane Fonda et Muhammad Ali ont usé de leur célébrité pour dénoncer la guerre au Vietnam et Bob Avakian, le fondateur du Revolutionnary Communist Party à fait ses débuts dans l’activisme lors de cette période.

Par contre, nous en avons oublié un, et il s’agit d’un ancien membre des Beatles, le légendaire John Lennon. Lui et sa femme Yoko Ono étaient connus pour leur fameux « bed in ». Nous savions déjà qu’il était très surveillé par la CIA, qui l’accusait d’être un danger potentiel pour l’Amérique. On avait entre autre reproché à sa chanson « Imagine » d’être d’influence communiste (mon dieu, avons-nous réellement écrit ce mot ?). Mais maintenant on sait qu’il était aussi surveillé par la GRC lorsqu’il voulait organiser un festival du type hippie à Toronto en invitant ses anciens collègues des Beatles et le mythique Elvis Presley. Malheureusement, l’évènement n’aura jamais eu lieu.

Des documents rayés de la liste des archives secrètes révèlent que des espions de la Gendarmerie royale du Canada (GRC) surveillaient de près John Lennon alors qu’il projetait d’organiser un immense festival en faveur de la paix, près de Toronto, il y a 37 ans.

Tout comme la CIA il y a quelques semaines, la GRC – qui n’est pas blanche comme neige – devrait ressortir ses « bijoux de familles » et avouer une partie de sa vraie histoire aux gens qu’elle dit « vouloir protéger » (bien qu’ils servent avant tout les intérêts de la bourgeoisie canadienne et mondiale)

Les choses n’ont pas beaucoup changés en 2007, les activistes anti-guerres sont toujours surveillés par les autorités dans les deux pays qui se prétendent les plus « démocratiques au monde ».

L’Hégémonie ne passera pas !

==> Lire la suite

À lire: Mais que font les pacifistes américains ? Par Alexander Cockburn dans le Monde Diplomatique (Juillet 2007)

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Tom Cruise est un nazi !

Posted by Libertad ! sur 20 juillet, 2007

Mais un gentil nazi…

Le studio américain United Artists a diffusé hier les premières photos de Tom Cruise dans ses habits de nazi. L’acteur américain interprétera le rôle du colonnel Claus von Stauffenberg dans le film Valkyrie, dont le tournage controversé vient de commencer à Berlin.

Valkyrie, qui sortira en août 2008, racontera l’histoire du complot du même nom ourdi contre Hitler par Von Stauffenberg et d’autres officiers allemands en juillet 1944. Le complot se solda évidemment par un échec mais Von Stauffenberg est considéré en Allemagne comme un héros anti-nazi et un symbole du courage civique contre le totalitarisme. Ce qui choque plusieurs Allemands, c’est que ce héros soit aujourd’hui incarné par un homme appartenant à une secte – l’Église de la Scientologie – qu’ils jugent totalitaire.

==> Source

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Des leçons de rhétorique

Posted by L'Agitateur sur 10 juillet, 2007

Nous avons un petit test, trouvé sur un site marxiste, qui traite du sujet de l’art oratoire. Pouvez-vous trouver qui est celui qui a dit / écris ces lignes ?

« Soyez simples et concis. Il est recommandé d’éviter les mots & expressions difficiles pour leur préférer des mots & expressions populaires, c’est-à-dire la langue du peuple (…) Il est important de se rappeler que nous utilisons l’art oratoire pour faire comprendre aux gens la raison de notre lutte, et pas du tout pour faire les érudits.

Utilisez les exemples vivants et réalistes. Evitez les concepts abstraits, comme ceux qu’on entend dans les universités, et à leur place donnez des exemples concrets : des chevaux qui galopent, des oiseaux en vol, etc. Utilisez des gestes quand vous parlez. »

Alors ? Vous avez trouvé ? Ça ne vous rappel pas un certain « Mario Dumont » ?

Certains penseront que ce sont des communistes ! D’autres, des socialistes ! Mais, détrompez-vous : c’est la CIA elle-même. En effet, il s’agit en fait de recommandations de la CIA pour ses agents en mission spéciale qu’on peut lire dans le chapitre « Équipes de propagande armée » du livre « Opérations psychologiques dans la guerre de guérilla » destiné à l’instruction des agents dans les guerres contre-révolutionnaires (par exemple les groupes de Contras d’Amérique Latine)

Vous voulez connaître ces méthodes anti-révolutionnaires et populistes ? Le lien est ci-dessous !

==> Le manuel contre-guérilla (en anglais)

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Paris au pays des merveilles

Posted by Libertad ! sur 28 juin, 2007

Paris Hilton parlait pour la première fois hier soir depuis son séjour en prison. Elle est allée se confesser à Larry King. Et ce fut fort divertissant mais sérieusement, qu’est que cette bourgeoise fait de bien pour le monde ? Ce n’est qu’une enfant gâtée qui ne sait que se ridiculiser et dépenser sans compter avec de l’argent qu’elle n’aura jamais à travailler pour gagner…

==> Son entrevue en sept parties avec Larry King

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